Résolu, à l’issue de ma thèse, à comprendre les boucles étranges et les mécanismes qui régissent le contrepoint et l’art de la réflexivité, j’ai décidé d’étendre ma connaissance des claviers à celui du piano et, accessoirement, du clavecin… Je me suis donc inscrit en septembre 1998 à l’école de musique de la RATP (encore une boucle étrange).
Il m’a cependant fallu plus de 6 années pour être capable d’en enregistrer une version acceptable. L'ordinateur quantique que je suis subit ainsi, de plein fouet, l'effet d’Heisenberg : l’observation perturbe (36 Mo) toujours l’expérimentation. Éternel amateur, j’ai beaucoup de mal à produire un jeu correct devant un spectateur – fût-il numérique.
Ces enregistrements (dont les plus récents) sont exposés ICI. Mon projet est, en effet, d'assembler les idées en autant de chimères.
Entendre et jouer 2 ou 3 voix simultanées, en produire une harmonie, s’avère un processus d’apprentissage lent.
Régressions Infinies, Cohérence Et Recherches Canoniques Amorcent un RICERCAR.
Continuement, des paliers de compréhension sont atteints et la découverte
de Satie s’est, paradoxalement, avérée précieuse
pour une meilleure compréhension de Bach.
Apprendre
le clavier est, pour un adulte, une tâche ardue et fastidieuse
mais ô combien exaltante une fois les premiers résultats
obtenus. Reste
ensuite à approfondir la
compréhension puis à
reproduire et enfin
conduire une interprétation
régulière de 3, 4…
et pourquoi pas, virtuellement, 7 voix ou davantage
…
Regrets
infinis, la compression des enregistrements
est réalisée
selon des critères aléatoires...
fugues, mises un jour, par J. Sé(Bis)